Le dessin a quelque chose de magique… il n’exige aucune prudence de tout genre, aucune agitation excessive, aucune bienséance, il ne s’achète pas, ne s’évalue pas, il n’est pas chiffrable, il n’a besoin ni de tableau Excel, ni de reporting pour toucher celui qui le reçoit.. il lui suffit d’un crayon, d’un peu de lumière et d’une rencontre entre deux imaginations..
Elles aussi avaient besoin d’un patronus .. 2 petites filles traversant des épreuves bien trop sombres pour ne pas y mettre un peu de lumière. Leurs patronus, estiment elles, sont respectivement un dragon et un Phoenix.. effectivement, elles sont pleines de sagesse, il faut taper fort dès le plus jeune âge 🙂

