Au gré de déambulations parisiennes, j’ai rencontré la rue de la lune. La poésie du nom m’a tout de suite charmée. J’ai appris par la suite que Lucien De Rubempré, journaliste déçu des Illusions perdues de Balzac y vivait. La coïncidence m’a séduite. Après tout, c’est à la lune que l’on demande ses illusions perdues, car le soleil ne le sait pas. Puis, en poursuivant mes lectures, j’ai fini par comprendre que le nom de cette rue ne faisait pas seulement référence à l’astre céleste, mais peut être à quelque chose de bien plus … terrestre 😉🍑
Mais, après tout, peu importe, La poésie, pourvue qu’elle soit douce, se niche dans les détails, 😁
